S’il n’en reste qu’un !
Les Stéphanois l’ignorent mais ils ont à la tête de leur ville et de sa métropole un homme politique d’une envergure exceptionnelle.
Et celui-ci a pris le temps, dans un emploi du temps surchargé, de se confier longuement dans l’édition dominicale du Progrès En tout trois pages complètes dans lesquels de très nombreux sujets sont abordés.
Commençons par le musée d’art moderne qui fait l’objet d’un projet d’envergure nationale capable de le hisser au rang du Louvres de Lens.
Un projet magnifique qui devrait rallier tout le monde. Tant pis si le musée accueille peu de visiteurs dans l’année à comparer avec ceux de la mine ou des verts ou encore au musée d’art et d’industrie ! Quant à la Cité du design, les prédécesseurs de Gaël Perdriau n’avaient pas de vision de l’avenir. Lui seul et son ami Chassaubéné sont capables d’une réflexion globale.
Quand nos confrères abordent avec lui la posture de son ex famille politique, personne ne trouve grâce à ses jeux, ni Eric Ciotti, ni Xavier Bertrand, ni Valérie Pécresse. Le gérant de Gaulle n’a qu’un successeur et il est Stéphanois. Et il dispose de son micro parti, la Manufacture d’idées. Mais le maire de Saint-Etienne est au-dessus des petites contingences.
Il n’a jamais songé à se présenter aux sénatoriales. Ah bon ! . Ses opposants sont des charognards ! Gilles Artigues aurait dû démissionner car Albi est loin. Et M. Perdriau n’exclut pas de se représenter en 2026 !
Il oublie simplement que depuis les législatives de juin dernier, la gauche est majoritaire à Saint-Etienne.