Mardi à ce dernier conseil municipal de la Ville de Saint-Étienne, au-delà de la conclusion (digne d’un mini « assaut du Capitole » où la condamnation des forcenés reste unanime, tout élu(e)s confondu(e)s) le déshonneur et l’indignité prévalaient pour le 1er édile de la ville…
Entre l’humiliation volontaire de son ancien 1er Adjoint Gilles Artigues, unique victime de cette affaire dite du « kompromat » par la justice et la comparaison avec l’affaire Dreyfus, au bord de l’inacceptable en mettant ici l’antisémitisme au même niveau (après celui de l’homophobie) nous avons atteint, ce jour-là, un niveau très bas de la politique locale.
Ce que nous pourrons, néanmoins, retenir reste la force de la famille de Gilles, notamment sa fille aînée et porte-parole de la famille Claire Marie Artigues, qui était présente et qui a subie l’abaissement de leur propre père par le 1er Magistrat de la ville ainsi que de certains de ses défenseurs.
L’occasion de renouveler, dès lors, l’unanime et entier soutien des Jeunes Républicains Loire à leur encontre ainsi que la réitération de la demande de démission du Maire.
OUI la justice aura le dernier mot, que chacune et chacun devra respecter en ne tombant pas dans le complotisme pour la suite.
OUI la loi est au-dessus de tous, et les 4 mises en examen seront obligés de respecter les verdicts qui leurs seront rendus.
Et OUI l’avenir donnera raison aux victimes et tords aux bourreaux, peu importe le temps que cela prendra.
Vu que beaucoup d’entre nous énoncèrent, à cette occasion, des fables de La Fontaines : je retiendrai celle de « La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf ! » (et qui s’enfla si bien qu’elle creva, comme l’énonce la fable).
Une énième fois encore, notre ville et ses habitant(e)s méritent beaucoup mieux que cette piètre image de l’intérêt purement personnel d’un seul homme !
Antoine POMÉON
Conseiller municipal indépendant les Républicains
Responsable des Jeunes Républicains Loire