Le commissaire européen au marché intérieur viserait la tête de liste de la majorité présidentielle pour les éléctions Européennes, mais également la présidence de la Commission européenne selon Marianne. Toutefois, d’après nos confrères, il s’y prendrait mal.
Thierry Breton ne cacherait plus son désir de remplacer Ursula von der Leyen à la présidence de la Commission européenne. Pourtant, selon un « bon connaisseur des arcanes bruxelloises », « Vouloir la place de la cheffe », s’avère contre productif pour le Français, alors que la contributrice de l’Agenda 2030 du Forum économique mondial Von der Leyen, serait déterminée à se maintenir à la barre pour un deuxième mandat.
Des rumeurs suggèrent que Breton, réalisant la complexité de la situation, réoriente désormais ses ambitions vers la succession de la commissaire européenne à la concurrence, Margrethe Vestager. Cependant, selon des initiés, même ce mouvement pourrait se révéler imprudent étant donné les tensions déjà palpables avec von der Leyen.
Cela pourrait même lui couter la tête de liste de la majorité selon Marianne. L’intrigue s’épaissit alors que d’autres candidats potentiels font surface dans la course d’un poste de commissaire européen. Bruno Le Maire, l’actuel ministre de l’Économie et des Finances, lui aussi contributeur du FEM est considéré comme un candidat solide, même s’il semblait plutôt destiné à la direction du FMI. Néanmoins, la nouvelle génération n’est pas en reste. Clément Beaune, serait également mentionné dans les couloirs du pouvoir européen.
Les méthodes actuelles de Thierry Breton à Bruxelles pourraient le mettre en position délicate., d’après nos confrères, mais ses expériences à la tête d’entreprises françaises majeures, comme France Telecom, Bull ou encore Atos restent toutefois des atouts de poids.
Il semble difficile de croire que le Français soit à ce poids triquard, alors qu’il a mené de nombreuses réformes au pas de charges, comme le DSA, le Digital Market Act qui régit la modération des réseaux sociaux sur le territoire eurpopéen, mais aussi l’IA ACT ou le texte Amunition, qui permet de livrer des munitions en pagaille à l’Ukraine. De plus, le commissaire européen semble en bon terme avec le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, comme en atteste leur rencontre à Hiroshima en marge du G7 lors d’un événement organisé sur le FEM à propos de la chaine d’approvisionnement des terres rares.